Du 28 au 29 avril, les apprentis régisseurs lumière ont été initiés à l’utilisation des consoles lumière pour la gestion des projecteurs automatisés.
Au préalable, ils avaient d’abord appris à contrôler les projecteurs traditionnels avec une console manuelle, en mettant l’accent sur le sens du signal et le câblage. Ils avaient opéré ensuite le passage à la console numérique afin de comprendre les étapes de travail nécessaires à la création d’une conduite lumière : maîtrise du patch électronique, contrôle des circuits, enregistrement des mémoires, et restitution. Cette étape de leur apprentissage s’est tout d’abord faite avec un parc de projecteurs dits « traditionnels » (halogènes) et la famille des consoles lumière Congo, encore très présente dans nos théâtres.
En concluant ainsi, pour cette première année, leur module de Pratique Lumière, les apprentis régisseurs lumière ont appris à patcher un Template de Device et été initiés au fonctionnement des palettes, notion indispensable à l’enregistrement d’un projecteur automatisé dans une conduite lumière.
Ces étapes de travail étant communes à l’apprentissage de tous les types de consoles numériques, ils devront reconvoquer ces connaissances lors de l’apprentissage d’un deuxième langage machine, pour le module consacré aux consoles EOS, en deuxième année.
Entre-temps, ils auront bientôt l’occasion d’expérimenter en conditions réelles toutes leurs connaissances acquises, lors du projet de fin de première année, qui se déroulera le 16 juin à l’IMMS. Avec les apprentis régisseurs son, il s’agira de réaliser un événement spectaculaire basé sur la déambulation du groupe de musique « Afro Rumba Club » sur le site de l’ISTS-CFA des Métiers du Spectacle. Nous revenons prochainement vers vous pour plus de détails !